En dehors des deux ouvrages fondamentaux, Bonomi et Sharpe, (The Alabaster Sarcophagus of Oimenepthah I, King of Egypt", ), il faut prendre en considération les deux ouvrages de Budge,
Ne seront pas traité dans cette page les descriptions pour le couvercle, c'est à voir ici .
Il est intéressant de comparer l'approche de Budge entre 1905 et 1908.
Ces deux volumes présentent les textes hiéroglyphiques, avec scènes en fac-similés.
En étudiant de près la transcription en hiéroglyphes dans 'The Egyptian heaven and hell' je me suis aperçu qu'aux pages 54, 56, 58, 60, 62, 64,
il utilisait au lieu de
! Puis il reprend
à partir de la page 98 ! Mystères
de mon côté j'ai respecté le relevé de Bonami en utilisant le signe
Dans sa note d'introduction il écrit :"This volume is the second of a series of three volumes which treat of the Egyptian Heaven and Hell. It contains the complete hieroglyphic text of the Summary, or short form ofthe Book Am-Tuat, and the complete hieroglyphic text of the Book of Gates, with translations and reproductions of all the illustrations. A series of Chapters dealing with the origin and contents of Books of the Other World, with prefatory remarks, and a full index to the whole work, will he found in the third volume.
Ce volume est le deuxième d'une série de trois volumes qui traite du ciel et de l'enfer égyptiens. Il contient le texte hiéroglyphique complet du résumé, ou forme abrégée du Livre Am-Tuat, et le texte hiéroglyphique complet du Livre des Portes, avec traductions et reproductions de tous les illustrations. Une série de chapitres traitant de l'origine et contenu des Livres de l'Autre Monde, avec remarques liminaires, et un index complet de tout l'ouvrage se trouvera dans le troisième volume.
A partir de la page 1 (qui n'est que la continuité du volume 1 consacré entièrement à l'Am-Douat); il présente la version abrégé de l'Am-Douat, dont il est possible de se reporter à la publication de Gustave Jéquier : 'Le Livre de ce qu'il y a dans l'Hadès', Paris 1894.
Pour cet abrégé, il donne des versions parallèles entre le texte du tombeau de Séthy Ier et le papyrus Leyde T71.
1ère heure | Séthy lignes 1-22, p.2-3 | Leyde p.3-4 |
2ème heure | Séthy, lignes 23-61, p.5-7 | Leyde p.7-8 |
3ème heure | Séthy,lignes 62-105 , p.10-11 | Leyde p.11-12 |
4ème heure | Séthy,lignes 106-138 , p.14-15 | Leyde p.15-16 |
5ème heure | Séthy,lignes 139-173, p. 17-18 | Leyde p.19-20 |
6ème heure | Séthy,lignes 174-210, p. 22-23 | Leyde p.23-25 |
7ème heure | Séthy,lignes 210-213, p. 27 | Leyde p.27-30 |
8ème heure | Sethy manquant. | Leyde p.31-32 |
9ème heure | Séthy manquant. | Leyde p.33-34 |
10ème heure | Séthy manquant. | Leyde p.35-36 |
11ème heure | Séthy manquant. | Leyde p.37-38 |
12ème heure | Séthy manquant. | Leyde p.39-40 |
Page 44 : Le livre des Portes, chapitre I
Il présente le 'Livre des Portes', en expliquant que sa présentation est surtout basée sur le sarcophage, donne quelques informations sur la découverte et précise que 'La chambre du sarcophage est située à une distance de 320 pieds de l'entrée du premier corridor et à 180 pieds au-dessous du niveau du sol.
Il explique l'origine de la cuve : "Un examen du sarcophage montre qu'il botli et son couvercle ont été creusés dans des blocs monolithiques d'albâtre, et il est probable, comme le dit M. Sharpe, (1) que ceux-ci ont été extraits dans les montagnes près d'Alabastronpolis, c'est-à-dire le district qui était connu des Égyptiens sous le nom de Het-nub , et est situé près des ruines connues à l'époque moderne sous le nom de Tell al-'Amarna. Dans les carrières Het-nub, un grand nombre d'inscriptions, écrites principalement en caractères hiératiques, ont été trouvées, et d'après la sélection intéressante de celles-ci publiées par MM. Blackden et Fraser, nous apprenons que plusieurs rois de l'Ancien et du Moyen Empire ont continué y travailler, sans doute dans le but d'obtenir de l'albâtre à des fins funéraires.
(1) - Il renvoit à la page 14 de l'édition de Sharpe.
p.45-46, donne quelqpes pécisions :Lorsque le sarcophage et son couvercle ont finalement été façonnés et polis, ils ont été confiés à un artisan habile à tailler dans la pierre des hiéroglyphes et des figures de dieux, et les intérieurs et les extérieurs étaient couverts par lui d'inscriptions et de vignettes et de scènes mythologiques qui les illustraient. Les inscriptions et les scènes étaient ensuite remplies d'une sorte de peinture faite à partir d'une préparation de cuivre, et la couleur vert bleuâtre vif de cette peinture devait former un contraste frappant avec la blancheur brillante de l'albâtre fraîchement sorti de la carrière. À l'heure actuelle, un grand nombre de personnages et de personnages sont dénudés de leur couleur, et ceux dans lesquels il reste encore sont très décolorés par le brouillard et la suie de Londres.
Page 46 : Le nom du roi
La première tentative pour décrire le contenu des textes et des scènes sur le sarcophage de Seti I. fut le regretté Samuel Sharpe,
qui, avec feu Joseph Bonomi, publia « The Alabaster Sarcophagus of Oimenepthah I., King of Egypt », Londres, 1864, 4to ;
le premier était responsable de la typographie, et le second des planches de scènes et de textes.
Pour une raison qu'il n'est pas facile de comprendre, M. Sharpe décida que les caractères hiéroglyphiques qui formaient le prénom du roi
pour qui le sarcophage était fait devaient se lire "Oimenepthah", résultat qu'il obtenait en attribuant la valeur phonétique 'O' au signe
hiéroglyphique d'Osiris .
Le prénom s'écrit parfois , qui se lisent soit Seti-mer-en-Ptah, soit Seti-men-en-PtaH. M. Sharpe ne s'est apparemment
pas rendu compte que les deux signes
et
devaient être lus « Set », et il a donné au premier la valeur
phonétique de 'A' et au second la valeur de 'O' » ; il a ensuite identifié "Aimenepthah" ou "Oimenepthah" avec l'Anienophath de Manéthon
et le Choniaepthah d'Eratosthène, en disant: "d'où le soutien à notre lecture de son nom (c'est-à-dire celui du roi) Oimenepthah."
Il poursuit:«Passant sur les autres remarques de M. Sharpe, qui affirment que le sarcophage a été fabriqué en l'an 1175 (!) , nous devons
considérer brièvement la disposition des textes et des scènes sur les intérieurs et extérieurs du sarcophage et de ses couvertures.
Sur le bord extérieur supérieur du sarcophage court une seule ligne de hiéroglyphes qui contient des discours censés être faits au défunt par
les quatre enfants d'Horus ; cette ligne est en deux sections, dont chacune commence du côté droit de la tête et se termine du côté gauche du pied.
Au-dessous de cette ligne hiéroglyphique se trouvent cinq grandes scènes, chacune divisée en trois registres, et celles-ci sont enfermées entre
deux bandes pointillées destinées à représenter les frontières de la « Vallée de l'Autre Monde ».[voir le couvercle]
À l'intérieur du sarcophage se trouvent
également cinq scènes, mais il n'y a pas de ligne de hiéroglyphes courant le long du bord supérieur.
Au fond du sarcophage se trouve une figure finement découpée de la déesse Nut, et autour et aux environs d'elle se trouvent des textes choisis
dans la Recension thébaine du Livre des Morts ; à l'intérieur de la couverture se trouve une figure de la déesse Nout, les bras tendus.
Sur l'extérieur de la couverture, j'ajouterai aux textes qui enregistrent les noms et les titres du défunt, sont inscrites deux grandes scènes,
dont chacune est divisée en trois registres, comme ceux à l'intérieur et à l'extérieur du sarcophage.»
Page 48 : Les bandeaux du sarcophage
Il donne les textes hiéroglyphiques, en commençant par la ligne de texte sur le bord extérieur supérieur de la cuve. Soit le § I = côté droit, soit les textes Sd1 à Sd5, puis ceux de gauche Sg1-SG5 repéré §II, traductions p.50-53; voir ma page
Il donne la traduction pour Imset, Anubis, Douamoutef, la tortue, etc...
Pour Hapy (côté gauche) il précise "
I have come that I might be among those who protect thee, I bind
together for thee thy head, [and thy members, smiting "down for thee thine enemies beneath thee, and I give thee] thy head"
"Je suis venu pour être parmi ceux qui te protègent, je te lie
ensemble pour toi ta tête [et tes membres, abattant pour toi tes ennemis au-dessous de toi, et je te donne] ta tête".,
il renvoie aux déclarations des vases dits 'canopes' : a.w=k, Hwy n=k xfty.w=k Xr=k rdi
«Tes membres, que tu protèges de tes ennemies et qui sont te sont soumis ....»
«Au fond du sarcophage se trouve une grande figure en pied de la déesse Nut, qui est représentée sous la forme d'une femme avec
ses bras prêts à embrasser le corps du roi. Son visage et les parties inférieures du corps sous la taille sont de profil, mais elle a une poitrine
de profil, des épaules de profil et un œil de profil. Ses pieds sont représentés comme si chacun était un pied droit, et chacun ne montre
que le gros orteil. Un seul sein est représenté.
Les cheveux de la déesse sont longs et tombent sur son dos et ses épaules ; il est maintenu en position sur son front par un bandeau.
Elle porte un lourd collier profond et une tunique de plumes ajustée qui s'étend de sa poitrine à ses chevilles; ce dernier est soutenu
par deux bretelles, dont chacune est fixée avec une boucle sur l'épaule.
Elle a des bracelets de cheville aux jambes, des bracelets aux poignets et des bracelets aux bras.
Les inscriptions gravées au-dessus de la tête, des deux côtés et sous les pieds de la déesse contiennent des adresses au roi par les
grands dieux du ciel et des extraits du Livre des Morts»
Paragraphes du fond de la cuve | Hiéroglyphes, n°page | traductions, n°page |
---|---|---|
§ I, II, III | 54 | 55 |
§ IV | 54 | 55&57 |
§ V | 56 | 57&59 |
§ VI | 58 | 59 |
§ VII | 58 | 59&61&63 |
§ VIII | 62&64 | 63&65 |
§ IX | 64&66 | 65&67 |
§ X | 54 | 67 |
§ XI | pages 66 & 68 | = page 67 |
Les paragraphes X et XI n'en font qu'un seul, d'un point de vue sémantique!
Page 69
Cette section est présentée comme un appendix au Chapitre I
A la fin de ce chapitre il mentionne :"I am inclined to believe, that who-ever forced all these passages must have had some "spies with them, who were well acquainted with the tomb throughout. The tomb faces the north-east, and the direction of the whole runs straight south-west."
Je suis enclin à croire que quiconque a forcé tous ces passages doit avoir eu avec eux des "espions, qui connaissaient bien la tombe d'un bout à l'autre. La tombe fait face au nord-est, et la direction de l'ensemble va droit au sud-Ouest."
p.172, il donne : | p.173, ildonne : |
![]() | ![]() |
Ces deux images correspondent aux fragments FGH, voir ma tentative de position des fragments, vue de dessous, à partir de la planche 1
p.177, Budge mentionne qu'il y a quelques années, il a acheté à un indigène de Louxor un fragment du couvercle du
sarcophage de Seti Ier (voir p. 170) ; qui est maintenant au British Museum (n°29 948), et en donne le fac-similé.
p.192 | p.193 | ,
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Ce qui correspond aux fragments O, P
Pages 1-4, la découverte du tombeau
C'est un passage intéressant quant au couloir mystérieux:
When the passage was discovered by Belzoni the end of it was choked up with bats' dung, and many parts of it were partially blocked
by stones which had fallen from the roof. It is quite clear that it was left unfinished, the reason being that at a spot
about one hundred feet from its entrance the hard limestone suddenly comes to an end, and its place is taken by a kind
of soft slate which crumbles into powder under the touch. It is probable that the architect of the tomb intended to carry the
passage very much further into the heart of the mountain, and to hew out of the rock at the end of it a chamber in which certain solemn funeral ceremonies were to be performed; at least this is what we should expect to have been his intention.
Belzoni thought that the passage was used as a means of access to the tomb, but this cannot have been possible, for it
has no connexion with the valley above except through the tomb and the end of it nearest the tomb was blocked by a wall,
and the opening of the staircase to it from the tomb was covered over with large, flat slabs of stone.
Que Google traduit: Lorsque le passage a été découvert par Belzoni, son extrémité était obstruée par des excréments
de chauve-souris et de nombreuses parties étaient partiellement bloquées par des pierres tombées du toit. Il est bien
clair qu'il a été laissé inachevé, la raison étant qu'à une centaine de pieds environ de son entrée, le calcaire dur s'arrête
brusquement, et sa place est prise par une sorte d'ardoise tendre qui s'effrite en poudre sous le touche. Il est probable que
l'architecte du tombeau avait l'intention de porter le passage beaucoup plus loin dans le cœur de la montagne, et de creuser dans le
roc à l'extrémité de celui-ci une chambre dans laquelle certaines cérémonies funéraires solennelles devaient se faire ;
c'est du moins ce qu'on devrait s'attendre à avoir été dans son intention.
Belzoni pensait que le passage était utilisé comme moyen d'accès à la tombe, mais cela n'a pas été possible,
car il n'a aucun lien avec la vallée au-dessus sauf à travers la tombe et l'extrémité la plus proche de la tombe était bloquée par un mur,
et l'ouverture de l'escalier qui y menait du tombeau était recouverte de grandes dalles de pierre plates.
Pages 5-7, Description du sarcophage
Il donne des information sur ce les carrières qu'il appelle 'albâtre', puis donne des dimensions, la forme momiforme, et "Le couvercle était maintenu en place sur le sarcophage au moyen d'une saillie surélevée, d'environ trois quarts de pouce de profondeur, qui s'insérait étroitement dans un creux creusé tout autour du bord intérieur du sarcophage.
Il évoque 'The presence of holes nearly one inch in diameter, at various
places in the sarcophagus and its cover, suggests that the
cunning workmen who made them employed the drill in hollowing out the blocks of limestone."
La présence de trous de près d'un pouce de diamètre, à divers endroits dans le sarcophage et son couvercle, suggère que le
les ouvriers qualifiés qui les fabriquaient employaient une perceuse à creuser les blocs de calcaire."
Page 7, état du sarcophage
Il indique qu'une fissure d'environ un pied de long existe sur le côté droit du sarcophage et que ce pourrait
être causé par ceux qui ont retiré le couvercle.
Page 8, le voyage de la momie
Il explique le voyage des momies de Sethy I et Ramsès II, le rôle du Grand Prêtre d'Amon, Heri-Hor, qui décida que le seul moyen qui restait pour préserver les momies royales de la destruction était de les retirer de leurs tombes vers des lieux de sécurité. Dans la sixième année de son règne, il fit re-bander les momies de Seti Ier et de son fils Ramsès II, et à cette époque il répara plusieurs autres momies et leur donna de nouveaux cercueils. Page -, il explique qu'en l'an 6 du règne de Heri-Hor il déplaça les momies de Ramsès Ier, Séthy Ier et Ramsès II vers la tombe de Inhâpy (DB320).
Il n'est guère possible de penser que les ouvriers employés par Her-Heru seraient si peu qualifiés que briser le couvercle du sarcophage en morceaux et l'endommager les côtés, et nous sommes donc obligés de supposer que avant la sixième année du règne de Her-Heru le sarcophage de Seti I. avait été fracturé par des voleurs, son cercueil pillé, et sa momie déroulée par eux à la recherche d'un trésor. Avant la fin de la période du règne des grands prêtres d'Amon sur l'Egypte, la momie de Seti Ier fut de nouveau réparé, c'est-à-dire que plusieurs pansements neufs ont été enroulés autour de lui et fixé en position. Le grand prêtre d'Amen qui a effectué ce travail pieux était Men-kheper-Ra.
Trois ans après ce second re-bandage, il provoqua la momie de Seti Ier et celle de son fils Ramsès II. être retiré de la tombe d'An-Hapu et emmené dans la tombe d'Amen-hetep I.
===================================================================== )sous les XXIème-XXIIèmes dynasties, que l'on connait grâce aux procés verbaux sur les cercueils trouvés dans la DB320 .Budge précise que ce serait le prince Ioupout fils de Chéchonq Ier qui aurait scellé la tombe en 970 av.J.C.
Il analyse la peinture des hiéroglyphes qui serait épaisse, ou pâteuse, réalisée à partir d'une préparation de cuivre, d'où
la couleur vive, vert bleuâtre.
Immédiatement au-dessus du milieu du corps se trouvait un deuxième faucon, avec un disque sur la tête et des ailes étendues.
Sur le bord extérieur du couvercle coure une seule ligne de texte hiéroglyphique contenant deux adresses au roi,
l'une de Nout et l'autre de Thot. Chaque adresse commençait à la tête et, courant l'une à droite et l'autre à gauche, et
se terminait au bas de la couverture. Au-dessous de cette ligne, de chaque côté du couvent les textes du Livre des Portes.
Sur l'espace sous le deuxième faucon, découpés en lignes horizontales des hiéroglyphes les noms et titres du roi, et probablement
deux ou plusieurs chapitres contenant des prières pour son bien-être, extrait de la Recension thébaine du Livre des Morts.
La description prete à interprétation du fait de la fragmentation du couvercle.
Il discerne à côté de l'espace qui couvrirait la tête et le visage du roi un dieu-chacal Anubis, et de l'autre côté le dieu-chacal
ou dieu-loup, Oupaout, surmontant un sanctuaire en forme de temple.
Il reprend la description de la page 53 du volume II de 'The Egyptian heaven and hell' (cf. ci-dessus), en expliquant que
l'ensemble du sarcophage était destiné à représenter le lieu de résidence du roi dans l'Autre Monde ; le fond était le ciel,
et son couvercle était cette partie des régions célestes dans lesquelles le dieu-soleil Rê suivait sa course.
Lorsque le roi, dans son cercueil, a été placé dans le sarcophage, il était censé être au-dessous du ciel, et Nout,
la déesse le reçoit dans ses bras, tandis que Rê, le seigneur des cieux, a jeté sa lumière sur lui.
Il conclut pour cette section que chacunes des divisions de la Douat contiennent une
description des différents groupes d'êtres que le roi rencontrerait, lors de son voyage à travers elle, et qu'il doit fournir leurs noms.
Les textes étaient destinés à lui communiquer la formule qu'il pourrait avoir l'occasion d'utiliser, et les images et les figures
devaient lui permettre de reconnaître les habitants du Douat quand il les verrait.
Avec les figures de dieux et de déesses au-dessus et au-dessous de lui, et les textes protecteurs de tous les côtés de son corps permettrait au
grand roi Seti Ier qu'avec certitude il traverserait la Douat indemne et en sortirait pour hériter de la vie éternelle.
Paragraphes du fond de la cuve | Traductions, n°page |
---|---|
§ I, II | 14 |
§ III-IV | 14-15 |
§ V | 15-16 |
§ VI | 16 |
§ VII | 16-18 |
§ VIII | 18-19 |
§ IX | 19-20 |
§ X | 20 |
§ XI | 21 |